On se rappelle tous de cette image au siège de la Ligue Guinéenne de Football Professionnel, le CONOR-FGF venu installé Lucien Beindou Guilao à la tête du comité provisoire de gestion de ladite instance. Des Hommes prêts à tout pour imposer leur diktat, trouvant la personne idéale pour jouer la marionnette on dirait dans une « série mexicaine ».
Aujourd’hui, cette unité d’action n’existe plus. L’argent serait la cause de la divergence. Lucien Guilao et ses acolytes en venant à la LGFP croyaient dur comme fer, trouver du travail. Le travail où on se la coule douce. Hélas ! Près de 5 mois après leur installation, les membres du comité provisoire n’entendent parler que de gros montants, malheureusement qu’ils ne voient et ne gèrent pas. Même la coupe de la Ligue qu’ils veulent lancer et dont ils ont trouvé le financement, c’est le CONOR-FGF qui veut gérer ça aussi (pas d’argent, pas de salaire, pas de frais d’entretien… pour eux). C’est d’ailleurs la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Lucien Guilao fâché et désemparé, cherche désormais des alliés pour aller au clash contre ses patrons avec lesquels il ne fume plus le calumet de la paix. Une réunion pour se dire les vérités et déverser la frustration est prévue ce mercredi, m’a-t-on dit.
Mes informateurs parlent même de Chérif Diallo frère du ministre des sports Bea Diallo, qui est en attente pour le remplacer au cas où Lucien passait à l’action. Même si les mêmes sources croient que Guilao à la recherche désespérément du travail n’aura pas le courage de se retrouver au chômage. Il continuera à s’arc-bouter pour sa survie.
David Tchopnn Bangoura, Journaliste